Perséphone s'installe dans ses quartiers d'hiver.
Ça semble se présenter tel un fait divers. Pourtant non. Les racines restent à parfaire. L'avant-bras sur le front maintenant accueillant la brise d'instinct, on laisse s'allumer les aguets. Les vrais. Les feux qui comptent et non ceux qui comblent et consumment quelconque vide coque.
Les méprises se présentent en foule cacophonique et fuguent l'interprétation. En vain.
Métamorphoses des données primitives qui se dévoilent alors en éclaireurs dans l'étroit passage de la conscience.
D'accord. J'y suis. Je suis.
Voguer sur les forces de la source de la rivière de vie.
jeudi 1 janvier 2009
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6 commentaires:
C'est bon que tu sois de retour *joie*
Morgane: c'est bien d'être de retour. Bises ;-)
Oui, suivre la courbure de l'espace tant qu'elle nourrisse le mammi-faire. Le puît est un phare pour ceux qui creusent par en dedans.
Voguer sur les flots de la vie, en voguant sur tes mots...
Sublime!
Bonne année, belle âme!
-xxx-
P.S. Mon mot de vérif était CALIN, alors voici: xoxoxoxox!!!
Comme c'est beau, rien n'est à jamais enraciné fixement, les racines évoluent comme nos principes premiers.
L'arbre pousse dans les deux sens. Même l'hiver. Et la vie est vue autrement.
Le D.: J'adore "le puits est un phare pour ceux qui creusent par en-dedans". Je l'ai d'ailleurs reproduite chez GMA dans son billet "21 décembre". J'ai adoré aussi TBK.
Âme: se bercer, voguer, etc...on est balance toi et moi ;-) Bonne Année aussi à toi. Bises et autres.
GMA: t'as tout saisi!!
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