Quand je perçois que seuls attributs et parures de mon genre centralisent l'attention, le voile retombe et l'ombre revient, défiant le désir et sombre dans ses intentions, il camoufle l'omnipotence de ma dimension.
Devenir un semblant d'assurance-mâle typiquement masculine et ils ne viennent que pour payer la prime....Raw!
J'ai le volt exacerbé, la différence de potentiel s'élargit et la puissance dissipée dissimulée dans un ravissement simulé.
Mon coeur revêt son brouillon d'armure, et avec fougue je précipite le délectable à grandes bouchées crues. J'ai la lutte et l'abandon factice faciles, et ma danse lascivement lancinante les abuse. Ils n'ont rien compris, rien vu.
Ceux qui m'évaluent en surface, calculant la matière sous les courbes apparentes, sont ceux qui jamais de mes raz-de-marée ne sont gratifiés, la tromperie aisée satisfaisant leur avidité.
Mais après la tourmente, le pulsant crystal pourtant si délicat s'alourdit de noir dans son armure fêlée.
"Heart pendant", Art by Hibbary
12 commentaires:
Désabusée...
rares sont ceux qui voient et qui comprennent.
Tu sais.... j'aimerais écrire comme toi.... pas écrire comme toi mais plutot avec la même pureté....
Ah ce que je vois, le cornichon, ne fleurant que la trempette, n'a pas eu cette magnifique chance d'être dévoré! Pauvre légume, Il dû se contenter bien lamentablement de son pesto!
Patrick
morgane: je sais, je sais; mais ma nature est ainsi faite,... j'aime.
nyagwai: je suis flattée monsieur de votre appréciation. Mais vos rêves sont magnifiques pourtant!
patrick: ah le coquin qui profite de ses privilèges. Le monsieur se protège la fleur, comme j'en connais certain qui erre sans comprendre. Je n'ajouterai rien ici. ;-)
Comment pourrais-je me protéger la fleur, Perséphone, je n'ai été jusqu'à présent qu'un pouilleux chiendent, poussant là où le soleil voulait bien qu'il germe. Je n'ai de la fleur que la misérable beauté de l'éphémère et peut-être un ou deux pétales qui s'arrachent sous les pluies abrasives...
Déposée entre les doigts d'un mort ou sur le coin d'une table, la fleur, pourtant, se crève d'exister, d'allonger son rêve dans l'iris de ceux qui savent que l'éternité est un bien toujours insupportable...
p
P: Je suis ravie que tu reviennes au soleil! En fait je faisais référence à la fleur d'un autre et j'ai construit autour!
Hâte de te relire....
jolie ce billet :-)
Je me suis noyée dans tes mots....
Et ce Raw! inspire un cris primal, celui qui libère, tu sais?
Libères-toi, belle âme que tu es...
-xxx-
LoupDeVille: Merci! x
Âme:je t'enveloppe de mes flots et te porte et t'emporte .... nous nageons dans les mêmes eaux. Ces eaux ciseaux qui s'ouvrent et me découpent, tu partages avec moi la coupe? ;-)
xXxXx
Avec plaisir, belle nomade qui m'enchante...
-xxxx-
Le conflit dissimulé ou dit simulé ? A moins qu'il ne s'agisse d'une guerre ? Une prose d'épines qui transporte l'île dans un maelström !
Daud: Oh oui! Une prose épineuse qui chatouille en spirale!
Enregistrer un commentaire