Mon corps en mouvement dans sa lancée pour traverser les forces en cause dans cet univers
Mais l'axe étant à mille lieues de mon milieu qui,
Même en puisant dans les ressource de mes arts mécaniques presqu'épuisés
Succombe sous cet acharnement à trancher mes joints naturels
Je dus tenir compte du temps
Pour mon équilibre en quête de l'inertie salvatrice.
Un corps ne saurait employer un degré de force à surmonter la résistance d'un autre corps, sans en perdre lui-même une quantité égale à celle qu'il y a employée
Je me tus et je dus me tuer.
Pour vaincre.
mardi 26 mai 2009
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2 commentaires:
Salut Persephone:
C'est toujours un plaisir de lire.
A bientôt.
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Merci chère célestes versions....xx
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